Croquer le Louvre

Mercredi soir je suis allée au Louvre, armée de mon carnet moleskine. Mes derniers dessins ne m'avaient pas satisfaite mais ça peut arriver.

Les statues sont pourtant de bons modèles, qui ne bougent absolument pas et restent là aussi longtemps qu'on le souhaite. C'est Suzanne au bain de Pierre Nicolas Beauvallet que j'ai dessinée hier.

Mais la jolie statue a la tête d'un Picasso et les pieds d'un Rodin !

J'ai déjà rencontré des périodes (plus ou moins longues) où je ne parvenais plus à dessiner "comme je le voulais". Je me console en me disant que chaque fois, après cette période désagréable, tout s'arrange et je me rends même compte que j'ai progressé.

Dessine-moi un petit bonhomme

Voici un site sympa : on dessine un bonhomme et il lui arrive plein d'aventures.

Vous devrez l'aider pendant toute l'histoire, à vous de jouer: Draw a stickman

Résumé estival

Aujourd'hui, je commence ce que je considère comme la 2e étape de ma nouvelle vie.

Durant les trois derniers mois, j'ai rempli quelques pages d'un carnet moleskine, racontant mes visites de musée ou d'expo, mais aussi mes sensations, mes interrogations par des dessins moins réalistes, plus imaginaires (une nouveauté pour moi). Il manque encore une page ou deux de ce qui fut mon été, mais voici mon carnet à feuilleter.

A l'heure où vous lisez ces lignes, je suis en cours : la 2e étape vient de commencer...

Musée de la carte à jouer

Parmi les musées que j'ai visités, celui de la carte à jouer d'Issy-les-Moulineaux est sans doute le moins connu. Il vaut pourtant le détour si on s'intéresse aux cartes.

 

 

On y trouve des cartes anciennes de tous les pays, des jeux de tarots ou de bridge, on voit des piques, des carreaux, des trèfles, des cœurs, mais aussi des glands, des bâtons, des écus, des feuilles, des grelots, des dames, des rois et des cavaliers, même des cartes rondes !

 

Sur une petite surface de papier, la carte à jouer raconte tant de choses. Comme par exemple les cartes datant de la révolution et qui ont été corrigées pour qu'il n'y ait plus de têtes couronnées.

J'y ai découvert des cartes anciennes avec des dessins qui intègrent les "couleurs" dans les visuels, des cartes publicitaires et des cartes d'artistes tellement graphiques et originales.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bien jouer Issy-les-Moulineaux !

C'est la fête des marionnettes !

Le Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes se déroule en ce moment à Charleville-Mézières.

Dès la descente du train, on est accueilli par deux oiseaux blancs accompagnés d'un violoniste.

 Dans toute la ville, la marionnette est à l'honneur, dans les vitrines ou dans la rue.

 

Les artistes s'échauffent derrière leur castellet.

Le festival est aussi l'occasion de voir des expositions vraiment intéressantes. 

Cette année  par exemple, le théâtre de papier, la marionnette tchèque d'aujourd'hui et Polichinelle étaient à l'honneur.

 

 

 

 

 

 

 

Le spectacle est partout, à tous les coins de rue et les enfants des écoles sont heureux.

 

 

 

Le seul bémol de ma journée, c'est que les spectacles que j'aurais aimé voir dans le IN étaient complets. Il aurait fallu réserver en ligne mais je n'étais pas certaine de pouvoir me libérer une journée pour y aller. Je m'organiserai mieux dans deux ans, pour la prochaine édition.

  De toute façon, une journée, c'est trop court...

Oui ou non ?

Parfois, la réalisation d'un projet dépend d'une décision extérieure. Même si tout est bien préparé, que le dossier est solide et qu'il n'y manque aucun document, c'est frustrant et stressant d'attendre l'aval d'un "inconnu". Dans mon cas, le timing très serré accentuait encore mon anxiété. Car la formation de webdesigner commence lundi !

Le verdict vient de tomber...

C'est OUI !

Dès lundi, je reprends donc le chemin de l'école, les cahiers, la cantine, les devoirs et les contrôles.

Je me sens un peu comme ça !

Musée Nissim de Camondo

Au cours du mois d'août, je visité pas mal de musées qui étaient depuis longtemps sur ma longue liste de "lieux à visiter absolument dès que j'aurai le temps".

Visiter le musée Nissim de Camondo, c'est faire un voyage dans le temps, dans la demeure de Moïse de Camondo, qui abrite son exceptionnelle collection de meubles, tableaux, tapis, porcelaines et orfèvrerie du XVIIIe siècle.

 

 

 

 

 

 

 

Les volumes sont magnifiques, guidé par l'audioguide, on passe de pièce en pièce en imaginant la vie quotidienne de cette famille. Rien ne manquait, de la cuisine en passant par les salles de bain, le confort moderne était là. Et puis surtout, chaque meuble, chaque objet était choisi avec soin et avec goût. En sortant, on est un peu étonné de se retrouver dans les rues d'un Paris d'aujourd'hui. Heureusement, le parc Monceau tout proche offre un peu de paix avant de reprendre le métro.